(OUPS) « let's get started »

#1 let's get started
tian wei & shin il
L'alcool, c'était un peu comme un mauvais pote. On ne pouvait jamais s'empêcher d'aller le voir, mais une fois qu'il nous avait entraîné dans toutes ces conneries qu'il savait si bien nous faire faire, on regrettait immédiatement ne serais-ce que l'idée qu'on avait eu d'aller lui rendre visite. Mais malgré tout, sur le coup, on était toujours bien content de l'avoir vu. Il était loin de faire parti de nos meilleurs amis, nous ruinant autant que nous inspirant, nous faisant faire les choses que nous souhaitions du plus profond de notre être sans jamais vouloir les faire par peur des reproches, du risque, des conséquences, du mal que cela pouvait nous faire. Il enlevait nos inhibitions et nous rendait plus fort, plus confiant, bien que plus maladroit car nous n'avions pas vraiment l'habitude de nous retrouver dans ce genre de situation. Moi, j'en étais un peu accro à cet ami qui nous permettait aussi d'oublier un instant tout ce qui était trop important.

Et j'en avais des choses à oublier. Des choses que j'aimerais qu'elles ne se soient jamais passée tellement elles empiétaient sur tout ce que je pouvais ressentir ou faire. L'alcool me vrillait les tympans et rendait ma vision un peu flou, et je tournai ma tête sur mes épaules pour assouplir ma nuque rendue douloureuse à force de rester dans la même position au bar, un verre à la main. Je ne savais absolument pas combien de verre j'avais pris depuis que j'étais arrivé, mais ce devait être un nombre important puisque la barmaid, particulièrement séduisante, me regardait avec un air de reproche. Je me levais, soudainement, pris d'une nouvelle pulsion de ne pas m’apitoyer sur mon sort, mon ami imaginaire me soutenant dans ma démarche de faire de nouvelles folies, et de profiter de ma vie plutôt que de revivre encore le passé et toutes les erreurs que j'avais pu commettre plus jeune.

J'arrivais sur la piste, essayant de paraître plus sur de moi et moins chancelant que je ne l'étais en réalité. C'était une manœuvre plutôt difficile, mais je me débrouillais bien en me rattrapant contre les corps de ses filles qui ne se gênaient pas ensuite pour bouger contre moi. Je leur faisais alors un beau sourire séduisant - histoire qu'elles se souviennent de moi au moment où j'aurais besoin d'elles quand je me serais peut être pris un râteau avec celle que je voulais vraiment - et je continuais d'avancer pour trouver la plus séduisante de toute. Je regardais fesses, seins, cuisses, cou, tout ce que j'aimais chez une femme, jusqu'à en trouver un bien rond, le genre de petit cul bien ferme qu'on aime attraper fortement avec les deux mains pour les malaxer sans jamais s'en lasser. Je me mordis la lèvre à cette vision, mais je fus tout de même surpris de voir un tel cul enfermé dans un pantalon.

Je ne pouvais pas détourner mes yeux de cette certaine source de bonheur, mais je du bien le faire lorsqu'une jeune femme entra dans mon champs de vision. Poli, je lui fis un sourire, et elle se mit à parler. A parler. A parler. Et a parler encore. Je me demandai un instant si elle allait un jour s'arrêter, mais, à bout de force de l'entendre sa voix suraiguë qui allait finir par me donner un mal de crâne épouvantable, je la poussais sur le côté, ne faisant pas attention plus que cela à son cri indigné, et me dirigea vers ce cul qui m'appelait, pour glisser ma main légèrement dessus, d'une façon presque imperceptible pour pouvoir faire passer cela pour un accident, et quand elle se retourna... C'était un gars.

tenue

L’argent, c’est sûrement ce qu’il y a de plus important pour Tian Wei. Personne ne peut vivre sans argent, c’est devenu tellement essentiel à l’homme que maintenant il faut même payé pour utiliser des toilettes publics, des toilettes que tout le monde peut utiliser. Tian Wei a bien compris que l’argent gouverne le monde car il n’y a que les riches qui ont du pouvoir sur le gouvernement. En fait, l’argent peut résoudre tous les problèmes même un meurtre alors comment certains pouvaient dire que l’argent n’était pas ce qui faisait le bonheur. Tian Wei a de l’argent et il est heureux comme ça, il sait très bien que le jour où il n’aura plus d’argent sa vie s’écroulera… Enfin bon, il sait également que ce n’est pas prêt d’arriver. C’est sûrement pour cela qu’il se retrouve dans cette boîte de nuit avec des amis à lui en train de boire des cocktail alcoolisé au maximum. Vous pouvez être sûr qu’il sait comment utiliser son argent et ce n’est pas toujours dans la bonne façon.

Le regard planté dans celui d’une jeune femme qui n’arrêtait pas de lui faire de l’œil depuis tout à l’heure. Il s’était enfin décidé à lui donner un peu de son temps, une de ses mains posé sur ses fesses bien potelé qu’il s’amusait à pincer doucement. Oui, ce soir il était bien décidé à ne pas rentrer tout seul chez lui, enfin comme tous les soirs d’ailleurs. Il n’aime pas dormir seul et rentre à chaque fois avec une nouvelle fille ou même un nouveau mec avec lui. Il tape dans les deux bords ce qui est nettement plus facile pour trouver un coup à prendre. Enfin celle qu’il avait pour l’instant dans les bras, commençait quelque peu à l’agacer et oui déjà… Il se lasse assez vite de certaines filles ce qui est tout le contraire quand il choisit un mec. Il la lâche finalement, la laissant planter là alors qu’il se dirigeait vers ses potes qui étaient assit à une table. Il se posa et bu cul sec une bonne vodka red bull, son pote lui parlait depuis tout à l’heure mais cela ne l’intéressait pas alors il ne l’écoutait pas. Oui, il a bien une tête d’ange avec un sourire à faire craquer mais cela ne fait pas de lui un mec fréquentable, bien au contraire d’ailleurs. C’est un sale bourge qui pense qu’à sa tronche.

Son regard se posa finalement sur un jeune homme posé devant le bar, un sourire s’afficha sur son visage en voyant dans l’état où il était déjà alors que ce n’était que le début de la soirée. Il ne le lâcha pas du regard, le trouvant tout à fait à son goût avant de perdre sa trace quand il entra dans la foule de danseur. Tian Wei fronça des sourcils avant de finalement se lever pour se diriger vers la piste de danse, il entra dans celle-ci et regarda partout autour de lui à la recherche de ce dit mec. Il s’approcha même d’un de ses potes pour lui demander si il ne l’avait pas vu quand il sentit quelque chose lui toucher les fesses. Il se retourna doucement et croisa finalement le regard de quelqu’un, celui qu’il cherchait maintenant. Un sourire se dessina sur les lèvres du jeune chinois qui n’hésita pas à le regarder de haut en bas. « Salut, je m’appelle Tian Wei… J’imagine que je t’intéresse n’est ce pas ? » Dit-il en gardant toujours son sourire sur les lèvres, tout en relevant ses yeux le long de son corps pour les déposer dans les siens.

Ce mec est tout à fait son genre et Tian Wei n’est pas quelqu’un qui lâche facilement sa proie. Ce beau jeune homme allait être son compagnon pour la soirée et il ne pouvait pas lui refuser cela au risque de recevoir les foudres du chinois. Il lui avait frôlé les fesses, cela voulait sûrement dire que celles-ci l’intéressait vraiment. Tian Wei s’approcha alors doucement de lui et colla son corps contre le sien avant de passer les mains du coréens sur ses fesses bien fermes. « Elles te plaisent c’est ça ? Tu n’as qu’à me demander pour les toucher. » dit-il ses lèvres non loin des siennes. Il était vraiment décidé à l’avoir celui-là et vous pouvez être sûr qu’il l’aura avant la fin de la soirée.

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tian wei & shin il
Il y avait sur terre des gens qui n'aimaient pas l'alcool, et il fallait soutenir qu'ils avaient parfaitement raison. Il ne pouvait pas être apprécié de tous, c'était une évidence. Il était bien trop violent, et provoquait parfois de mauvaise réaction de la part des gens. Mais ces personnes qui ne l'aimaient pas devait bien se rendre à l'évidence que sans l'alcool, la vie serait bien triste. Certes, il n'y aurait plus d'alcoolique, ni d'accident de la route, mais les hommes trouveraient toujours le moyen de provoquer des catastrophes. Après tout, c'est dans nos pulsions de nuire à autrui. La guerre, la violence, et toutes ces actions qui font couler le sang existent depuis la nuit des temps, et ce n'est pas maintenant que ça allait s'arrêter. Après tout, nous restons des animaux, au fond de nous, même si nous sommes maintenant conditionné.

Bref. L'alcool coulait à flot dans mes veines, et réchauffait tout mon corps. J'étais persuadé que je pouvais brûler des gens par mon simple touché, mais je n'hésitais pourtant pas à poser mes mains sur chaque femme qui croisait mon chemin. Jusqu'à ce que je l’aperçoive lui, ce petit cul. Ce petit cul bandant et qui m'avait l'air bien ferme que je me ferais bien, peut être même plusieurs fois, enfermé dans un pantalon, ce que je trouvais fort dommage. Une telle merveille devait être mise en valeur par n'importe quel moyen. Mais ce ne sera que plus plaisant de le déshabiller lorsque ce fantasme ambulant arrivera chez moi... ou chez elle. Je m'étais approché, le caressant du bout des doigts, content de percevoir sa fermeté sous mon touché.

Qu'est ce que j'avais hâte de l'attraper et de le malaxer à pleine main, ou de me frotter contre lui jusqu'à ce qu'elle en tremble, l'écarter et faire s'entrechoquer les deux parties avec fermeté... Ouais, j'avais hâte, avec ou sans vêtement - même si j'annonçais clairement ma préférence de voir cette paire de fesses sans un seul bout de tissus pouvant le couvrir - en public ou en privé, il sera à moi. Le cul, enfin, la personne à qui appartenait ce cul se retourna, et là, ce fut la merde. Une grosse merde sans fond ni fin. La personne que j'avais pris pour une femme, était un réalité un mec. Certes, pas le plus viril des gars que j'avais pu rencontrer de toute ma vie, mais c'était tout de même un gars.

Et, en l'observant plus attentivement, je remarquais alors qu'il n'y avait pas de taille marquée sur cette silhouette, et que les hanches étaient étrangement particulièrement étroites. Il me regarda de haut en bas, et je ne pu réfréner un frisson - de dégoût bien entendu, de me faire mater par un mec ! - ainsi qu'une grosse grimace. « Salut, je m’appelle Tian Wei… J’imagine que je t’intéresse n’est ce pas ? » Ma grimace s'accentua encore plus, alors que je laissais passer un grognement de dégoût. Il pensait vraiment que je pouvais être gay, moi ? il y avait des limites à tout quand même, je n'étais absolument pas intéressé, et je ne savais pas encore comment le lui prouver de la façon la plus convaincante possible.

Je fis un pas en arrière histoire de partir loin de lui et me trouver une femme sur laquelle lorgner, et cette fois ci, je m'en donnerais à coeur joie pour une partie plus haute du corps. Mais il se rapprocha de moi, mettant mes mains sur son cul, et bon dieu, qu'est ce qu'il était vraiment bien ferme. Je du me retenir de le presser entre mes mains. Mais une petite pression de rien du tout ? il s'en rendrait pas compte, hein ? J'avais vraiment pas le droit d'en profiter ? Non. Non, c'était un gars, donc non, je n'avais vraiment pas le droit. Je les tâtais discrètement - aussi discrètement qu'un mec bourré pouvait faire, puis arrêtais d'un coup, comme si je n'avais rien fait.« Elles te plaisent c’est ça ? Tu n’as qu’à me demander pour les toucher. »

Ouaiiiiis, elles me plaisaient. Mais nooon, je les toucherais plus. J'avais envie de lui dire ça, puis je me rendis compte que je serais bien peu convainquant. Son visage était trop près du mien, c'était dégoûtant. Affreux, horrible, et écoeurant. Je lâchais tout, mettant mes bras bien lui de lui et faisant un bond en arrière à la vitesse de la lumière. J'avais eu envie de lui cracher dessus, mais je me retins pour ne pas éviter de perdre le reste de femmes de la salle que j'aurai pu me faire. « C'était une erreur, alors éloigne toi la tapette, j'suis pas comme toi et j'veux pas qu'tu m'contamine. » Je poussais les gens derrière moi, et me dirigeais vers le bar pour me prendre un nouveau verre.

J'en avais bien besoin après avoir tâté le cul d'un gars. Je fis un sourire charmeur à une jeune femme assise non loin de moi, histoire de réaffirmer un peu ma virilité, et me dirigeais vers elle pour lui offrir un verre.

Sexe, alcool et argent, ce sont les mots qui résument parfaitement la vie de Tian Wei. Intelligent, beau, connu de tous pour être un bon samaritain -ce qui n’est bien sûr pas le cas réellement. Mais la chose la plus importante dans tout cela est sûrement l’argent, il n’est pas rare de le voir crier haut et fort qu’il est blindé de tune et le vit très bien d’ailleurs. Argent, intelligence il ferait sans doute le gendre rêvé mais ce n’est pas ce qu’il comptait être. Après tout, il a toujours été plus attiré par les hommes que par les femmes et pourtant ce soir, il était bien avec une femme. Une femme tout à fait à son goût et pourtant, elle le lassa bien vite et il la laissa planté là au milieu de la piste alors qu’il retournait boire un verre. Oui, il était bien décidé à ne pas rentrer seul ce soir et c’est ce qu’il comptait faire, il faut juste qu’il trouve la bonne personne.

Tian Wei repéra finalement quelqu’un, un beau jeune homme qui semblait être déjà sous l’effet de l’alcool ce qui est plutôt un point positif pour le jeune chinois qui avait déjà prévu qu’il serait sa cible de la soirée. Il se leva et entra dans la foule à sa recherche. Il n’avait pas encore prévu que ce serait lui qui le trouverait. En effet, alors qu’il allait voir un pote pour lui demander où était le garçon en question, il sentit quelqu’un lui toucher les fesses. Il se retourna et le vit alors devant lui, un sourire s’afficha sur le visage du chinois qui ne se gêna pas pour le mater de haut en bas et il n’y avait pas à dire ce mec était totalement à son goût. Bon, cela n’avait pas l’air de lui faire très plaisir que Tian Wei le regarde ainsi mais est-ce que cela le gênait ? Nan loin de là même, ce mec il l’aura pour goûter du soir.

Il se présenta en souriant avant de finalement se coller contre lui, posant les mains du coréen sur ses fesses. Après tout, il semblait les apprécier alors autant qu’il ait la liberté d’y toucher. Tian Wei souriait toujours même en voyant le regard dégoûté de celui-ci, ça vous pouvez être sur que ce mec est un bi refoulé ou pourquoi pas même un gay refoulé, il couche avec des femmes pour se dire qu’il les aime alors que ce n’est pas le cas. Il y en a tellement qui n’assume pas leur côté homosexuel. Enfin, il se pensait hétérosexuel mais cela n’empêchera pas le fait qu’il finira dans son lit ce soir, cela va de soit.

Le beau garçon finit par se détaché de lui d’un bond alors qu’il semblait vraiment aimé le postérieur de Tian Wei puisqu’il n’arrêtait pas de le presser entre ses mains ce qui était plutôt excitant d’ailleurs, il aurait pu continuer. Mais en voyant la tête qu’il faisait, Tian Wei ne put s’empêcher de se mordre la lèvre, oh oui il est vraiment sexy celui-là. « C'était une erreur, alors éloigne toi la tapette, j'suis pas comme toi et j'veux pas qu'tu m'contamine. » ouuuu, le petit coup bas. Tian Wei le regardait partir alors qu’il rigolait intérieurement. C’est exactement les paroles d’un refoulé ça. Il tourna la tête vers son pote qui avait suivit toute la scène et lui fit un sourire au coin. Si il pensait lui échapper comme ça, il se foutait le doigt dans l’œil. Il était temps pour Tian Wei de partir à la chasse.

Il se dirigea au bar droit vers lui, bien décidé à l’avoir dans son lit dès ce soir. Il n’est pas patient et compte bien le faire succomber à son charme. Il lui attrapa le bras et le retourna d’un coup le collant alors contre son corps. Il lui murmura à l’oreille, gardant son petit sourire au coin : « c’est vraiment pas bien de me laisser tomber comme ça, alors que je suis sûr que tu as d’autre chose à me dire… Je ne te laisserais pas partir comme ça. » Rigolant légèrement à son oreille. Il le tira vers une table libre, ayant sa main dans la sienne. Ce n’est pas comme si il était décidé à le laisser partir comme ça, nan il voulait juste lui montrer à quel point il aime les hommes.

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tian wei & shin il
Séduisante jeune femme. Tu es assise là, au bar, et je sais que tu es flattée que je vienne de toi. Et moi, j'ai besoin de toi. Je me rapproche discrètement de toi, histoire de montrer à l'autre gay que non, il n'a pas intérêt à me rejoindre s'il ne voulait pas se prendre mon poing dans la figure. Je t'offre un verre, gentiment, te faisant dans le même temps un sourire charmeur pour être sûr que tu sois à moi pour la soirée. Je t'observe de haut en bas, et admire tes formes. Tu es pulpeuse ma chère, juste comme je les aime. Un cul à se damner, une poitrine à faire rêver, et d'ailleurs, j'étais juste à la bonne place et hauteur pour pouvoir en admirer toute sa beauté. Je me mords un peu la lèvre avant de boire une gorgée du verre que l'on venait de me servir, j'allais t'adresser la parole, jolie déesse, pour te demander ton nom, et commencer un bout de conversation, quand on m'attrapa le bras, et qu'un corps se colla contre moi.

Je voyais là toutes mes chances de t'avoir anéantie. Toi qui étais si belle, et si à mon goût, tu te détournes de moi à cause de, je baissais la tête pour voir qui venait de m'attraper - ce gay qui n'avait pas compris que j'allais le frapper s'il continuait dans cette voie. Tu penses sûrement que je suis gay moi aussi, mais c'est faux ma belle ! Attends moi, je te reviendrais dès que j'en aurai fini avec cette tante ! Et je t'assure de te faire passer la plus fantastique des nuits de toute ta vie ! J'entendis l'autre bête de foire murmurer à mon oreille : « c’est vraiment pas bien de me laisser tomber comme ça, alors que je suis sûr que tu as d’autre chose à me dire… Je ne te laisserais pas partir comme ça. »

Put*in. Il ne me laissera vraiment pas tranquille. J'ai voulu me dégager, mais j'étais sûrement trop imbibé d'alcool pour réussir, comme ces biscuits boudoir, tout dur, et dès qu'on les imbibait de café ou de liqueur, ils devenaient si mou qu'ils partaient presque en morceau. Je fus donc entraîné je ne savais où, ah, à une table libre apparemment. Je le regardais le plus sérieusement du monde avant de lui dire : « nan, mais, j'crois t'as pas compris un truck en fait » Je posais ma mains sur la sienne pour être sur d'avoir toute son attention, et je me penchais vers lui : « moi, je suis pas comme toi. » je le regardais avec les yeux grands ouverts pour qu'il imprime bien ça dans sa tête.« j'touche pas des queues qui sont pas la mienne, j'suce pas des queues, je suis loin de me faire baiser par des queues. »

Je lâchais sa main pour m'adosser contre mon dossier, croisant mes bras sur mon torse, et croisant aussi mes jambes. « j'suis pas malade, comme vous tous là. j'sais pas ce que vous avez dans la tête, et tsais quoi, j'veux même pas le savoir. » Je me levais en tapant sur la table. « sur ce, moi je m'en vais, je veux pas être contaminé, et j'ai une conquête à séduire, et c'est pas toi. »

Une chose est sûr, Tian Wei n’est pas quelqu’un qui est capable de baisser les bras. Il l’aime le jeu et c’est exactement ce qu’était en train de lui demander ce beau brun. Alors oui, il lui avait peut-être dit que c’était une tapette mais au final, ce n’est pas comme si c’était la première fois que cela arrivait. Nan, puis il est sexy quand il est comme ça que nan, il ne baissera pas les bras et l’aura dans son lit dès ce soir. Tian Wei était parti à sa rencontre au bar, lui qui semblait si occupé avec une jeune femme qui certes n’était plutôt pas mal mais elle ne lui arrivait pas à la cheville. Nan, ce n’est sûrement pas elle qui va l’arrêter ce soir. Tian Wei le tira contre lui avant de lui chuchoter quelques paroles avant de le tirer vers une table vide, que le jeu commence.

Tian Wei ne put s’empêcher de sourire en entendant ses paroles, ce garçon est vraiment bourré de charme… On lui a jamais dit qu’il est vraiment trop sexy quand il est sous l’effet de l’alcool ? « Je te rassure, j’ai très bien compris… Tu n’es pas gay. » dit-il avec un petit sourire au coin. Il ne l’était pas pour l’instant dirons nous. « Tu portes tout de même une queue au cas ou tu l’aurais oublié… Cela n’empêche pas que tu peux essayer une fois, je serai ravi de me porter volontaire. Après tout ce n’est pas comme si c’était moi qui était venu en premier vers toi. » Dit-il en relevant la tête puisqu’il s’était relevé maintenant. Bien sûr que nan, il n’allait pas le laisser partir comme ça, ça serait trop mal le connaître. Il se mit alors devant lui, il faisait un peu près la même taille que lui, c’est un luxe. « j'suis pas malade, comme vous tous là. j'sais pas ce que vous avez dans la tête, et tsais quoi, j'veux même pas le savoir sur ce, moi je m'en vais, je veux pas être contaminé, et j'ai une conquête à séduire, et c'est pas toi. »

Alors qu’il allait partir, Tian Wei lui attrapa la main et le tira d’un coup pour le faire asseoir sur le canapé. Il se posa ensuite sur ses genoux avec un grand sourire au lèvre. « Je te rassure, cela ne s’attrape pas comme maladie et… je crois que ta conquête ne veut plus de toi puisqu’elle est avec un autre mec maintenant. » dit-il en regardant la dite fille qui était bel et bien avec un mec qui est tout sauf beau d’ailleurs pauvre de lui. « Si tu n’es pas gay, il n’y a aucun problème quand je te touche n’est ce pas ? A moins que tu sois homophobe ? T’ai-je dis que la plupart des homophobes sont en réalité des refoulés ? » Il se pencha en avant laissant ressortir ses fesses avant de prendre un verre d’alcool bien fort. Il lui tendit le verre en souriant, si il ne pouvait pas l’avoir maintenant il allait bien l’avoir avec un peu plus d’alcool dans le sang nan ? « Alors comme tu n’es pas homosexuel, on peut toujours boire ensemble nan ? » fait trinquer son verre contre le sien et le boit cul sec… Il n’y a pas de problème, il tient l’alcool contrairement à lui.

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tian wei & shin il
Je fus emporté loin de ma belle déesse, elle qui semblait si souriante et si ouverte à ma venue ! J'étais si déçu, d'autant plus déçu que ce n'était pas une plus belle créature qui m'avait emporté loin de ma délivrance, mais plutôt cet être de l'enfer qui semblait ne pas vouloir me lâcher. Je ne savais pas ce qu'il me voulait, mais j'étais près à ne pas lui donner. Je le regardais avec arrogance, tout en lui disant que moi, contrairement à lui, je n'étais pas gay. Il n'avait pas l'air d'avoir compris l'info, parce que je le voyais sourire. Je ne comprenais vraiment pas l'esprit de ces malades. Ne réfléchissaient-il donc même pas de la même manière que nous ? C'était très inquiétant, et cela me donnait encore plus envie de fuir loin de lui pour ne pas être contaminé par sa bêtise.

« non, je veux pas essayer. j'préfère encore mourir plutôt que de faire ça. et je te l'ai déjà dis, c'était une erreur, si j'avais su que t'étais un gars, je serais plutôt parti bien loin » Je me levais ensuite, lui annonçant que j'avais une conquête à séduire, mais lorsque je voulu partir, il m'attrapa la main, et me tira pour me faire asseoir sur le canapé. Moi, tout mou, je n'avais que pu me laisser faire, voyant encore mes espoirs de beauté féminine s'éloigner de moi. Alors que je rêvais de courbe, un corps - tout sauf pulpeux - se posa sur mes genoux, et un long soupire las s'échappa de mes lèvres. Fallait-il que je le frappe pour qu'il comprenne que non, il ne m'aurait pas ?

« Je te rassure, cela ne s’attrape pas comme maladie et… je crois que ta conquête ne veut plus de toi puisqu’elle est avec un autre mec maintenant. » Ma déesse ? Nooon, elle ne pouvait pas m'avoir fait cela ! Je levais les yeux au dessus de l'épaule de ce gars - pourquoi je l'avais toujours pas viré d'ailleurs ? - pour voir qu'effectivement, un laid était venu la voir. Je laissais tomber ma tête en arrière. C'était la plus belle que j'avais trouvé. Qu'est ce que j'allais faire maintenant ? J'ignorais totalement ce gars sur mes genoux, tout en regardant le reste de femme présent dans la salle. Y'en avais des pas mal, comme par exemple cette brune avec cette jolie robe violette.

Une voix lointaine, pas si lointaine, me parvint tout de même. « Si tu n’es pas gay, il n’y a aucun problème quand je te touche n’est ce pas ? A moins que tu sois homophobe ? T’ai-je dis que la plupart des homophobes sont en réalité des refoulés ? » Lui avais-je dis que j'en avais rien à foutre de ces gays refoulés et compagnie ? « si j'ai un problème avec le fait que tu me touches, ça me donne envie de gerber, même la pire cuite du monde ne me donnera pas autant de nausée. » Je passais une main sur mon visage : « et j'en ai rien à foutre de tes gays refoulés, alors maintenant dégage avant que je ne te foute mon poing dans ta belle gueule. »

Le chinois se pencha, et je ne pu m'empêcher de reluquer ses fesses. Elles étaient vraiment pas mal, et ça sous tout les angles. « Alors comme tu n’es pas homosexuel, on peut toujours boire ensemble nan ? » Non, non, non et encore non ! Je pris tout de même le verre pour le descendre - on ne refuse jamais un verre ! - avant de lui parler, m'énervant légèrement. « mais va te faire foutre ! » Je lui donnais une tape - qui malencontreusement tomba sur ses fesses - pour qu'il s'en aille, et que je puisse rentrer chez moi. « et pas par moi je te préviens ! »

On peut vraiment dire que le jeune chinois est quelqu’un d’assez entêté et c’est pour cela qu’il était bien décidé à avoir le jeune coréen. Bien sûr celui-ci résistait mais cela ne restait que plus amusant à avoir. Il fallait essayer par tous les moyens n’est ce pas ? Il lui proposa alors d’essayer au début mais celui-ci ne semblait pas vraiment ravi et pas complètement d’accord d’essayer le sexe entre hommes. « Ne jamais dire ça, on ne sait jamais ce qu’il peut se passer… Je dois avouer que mon cul à souvent tromper les hommes. Mais je dois bien avouer que tu es le plus beau qui met abordé pour mes fesses. » Dit-il en haussant doucement les épaules. Le dit mec se leva finalement pour partir mais ni une ni deux, il se retrouva assit sur le canapé avec Tian Wei sur les genoux juste pour l’empêcher de repartir une nouvelle fois.

De toute façon, sa petite conquête était en pleine discussion avec un mec qui était… vraiment laid, elle aurait pu mieux choisir mais c’est tellement mieux pour Tian Wei que cela lui convenait parfaitement. Enfin le jeune coréen semblait totalement désespérer alors qu’il semblait déjà chercher une autre fille des yeux, Tian Wei est tellement mieux et il se trouve déjà être sur ses genoux. Puis si il n’était pas gay, cela devrait rien lui faire quand il le touche à moins qu’il soit un de ses refoulés … Il en est persuadé ce mec est un gay refoulé. « si j'ai un problème avec le fait que tu me touches, ça me donne envie de gerber, même la pire cuite du monde ne me donnera pas autant de nausée et j'en ai rien à foutre de tes gays refoulés, alors maintenant dégage avant que je ne te foute mon poing dans ta belle gueule. » Il rigola doucement avant de secouer la tête doucement. Ce mec est pas possible, il l’avouera jamais que Tian Wei est tout à fait à son goût. « C’est fou comment tu peux te montrer violent, attend un peu je t’ai pas encore violer. » dit-il avec un petit sourire amusé. Ce mec montait sur ses grands chevaux à chaque fois ou c’est juste l’effet de l’alcool…

Enfin, il était peut-être temps de remettre une couche d’alcool. Tian Wei se pencha finalement en avant pour prendre deux verres d’alcool dont un qu’il donna au plus jeune. Il trinqua avant de boire son verre cul sec, ce soir il l’aura coûte que coûte. « mais va te faire foutre et pas par moi je te préviens ! » Sourit doucement, il disait ça alors qu’il venait juste de lui taper les fesses là nan ? Tian Wei reposa son verre sur la petite table et se tourna vers lui avec un sourire au coin. « Je crois que tu as mal compris, je ne te laisserai pas partir. J’ai décidé de t’avoir et je compte bien réussir. » Dit-il en lui faisant un clin d’œil. Il approcha son visage du sien et passa un main dans ses cheveux, lentement. « Repousse moi si tu en as envie, mais cela ne veut pas dire que je vais te laisser partir. Tu seras à moi pour cette nuit. » Dit-il avant de lui mordre la lèvre tendrement. Autant qu’il commence déjà à le chauffer un peu de toute façon, qu’il le repousse ou non ce sera la même chose. Il le mettra dans son lit dès ce soir et il est persuadé qu’il a adorer fourrer sa queue dans son cul si tendre..

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tian wei & shin il
Sur terre, il y avait beaucoup de choses qui étaient difficile à comprendre, et la difficulté augmentait encore selon nos faculté mentale. Ainsi, alors qu'il y avait des gens qui arrivaient à tout comprendre dès la première explication, il y avait aussi des gens qui, malheureusement et malgré tout leur efforts, ne comprenaient jamais rien à rien. Et j'étais fortement persuadé que le jeune homme assis actuellement sur mes genoux en faisant parti, parce que pour rester là, sur moi, alors que je l'avais menacé maintes et maintes fois de lui casser la gueule, que je lui avais dit très clairement que je n'étais pas gay comme lui, et que je ne le serais jamais, il fallait être idiot, très idiot. Pourtant, au premier abord il n'en avait pas l'air. Il avait même plutôt l'air chou ... et l'alcool me faisait penser d'étranges choses.

Enfin. Je l'avais un peu frapper pour qu'il dégage de sur moi, mais ma tape avait dérapé sur son cul. J'avais l'impression de faire une petite fixette sur lui, d'ailleurs, parce que quoique je fasse, mes yeux ou mes pensées retournaient toujours dessus. Et en pensant ça, je me promis de ne plus jamais boire. Je lui annonçais alors d'aller se faire foutre, une dernière fois, espérant qu'à force de lutter contre lui je l'aurais à l'usure, et il partira enfin se trouver quelqu'un de plus disponible à son égard. Mais je me faisais de faux espoir. « Je crois que tu as mal compris, je ne te laisserai pas partir. J’ai décidé de t’avoir et je compte bien réussir. » Je soufflais fortement de lassitude en regardant son clin d'oeil.

J'étais un aimant à gay. Non, mais c'était clair, et ça se confirmait de jour en jour. Avais-je l'air féminin ? Non, au contraire même. Alors pourquoi donc venaient-ils toujours m'agresser ? Et à cause de ce genre de comportement, je comprenais de mieux en mieux pourquoi je détestais ces malades. Ils ne réfléchissaient pas comme nous, les gens normaux, et ils ne comprenaient rien à rien. « Repousse moi si tu en as envie, mais cela ne veut pas dire que je vais te laisser partir. Tu seras à moi pour cette nuit. » Il faisait vraiment chier ! Et je commençais à sérieusement perdre patience. Je passais une main dans mes cheveux, penchant dans le même temps ma tête du le côté.

Puis il vint me morte la lèvre, et là, je perdis totalement patience. Ok, il aura ce qu'il voudra, mais certainement pas de la façon dont il l'aurait souhaité. Je le plaçais à califourchon sur moi, ma tête dans son cou, puis glissais directement mes mains sur son cul, sous son pantalon. Je soufflais alors dans son cou, après l'avoir mordillé « t'as gagné, puisque t'es pas décidé à me lâcher, on va faire ce que tu veux. » Je malaxais ses fesses, rapprochant dans le même temps son corps du mien pour le coller contre moi, m'adossant au dossier du canapé. Je changeais ensuite notre position, pour que ce soit lui qui soit assis dessus, et non plus moi.

Puis je m'éloignais de lui, le plus brusquement que mes gestes flou me l'ont permis. « voilà, tu m'as eu, maintenant fou moi la paix. » Je le laissais là, puis parti. N'empêche que, j'avais aimé.

Il n’avait pas l’air de comprendre qu’il n’était pas prêt de le laisser partir ainsi, enfin après ce qu’il vient de lui dire, il a peut-être compris que Tian Wei est vraiment entêté. Alors ouais, peut-être qu’il veut qu’il dégage mais nan pas tant qu’il n’aura pas eut ce qu’il veut, soit coucher avec lui et l’avoir en tant que … coup d’un soir ? Certes, il est peut-être un peu trop direct dans ses paroles, mais il n’y a que dans ce genre de cas qu’il arrive à avoir clairement ce qu’il veut. Alors il pouvait très bien lui dire cinquante fois qu’il n’était pas gay cela ne changerait en rien sa façon de penser donc il compte bien le faire pencher du côté homosexuel et au pire des cas, il aura au moins essayer. On ne peut pas dire qu’on n’aime pas tant qu’on a pas essayer.

Enfin maintenant qu’il l’avait pour lui –même si il n’a pas vraiment l’air de le vouloir. Il était peut-être temps de passer au chose sérieuse peut-être ? Il commença d’abord par le faire boire un peu, cela le rendra sans doute un peu plus docile. Puis il commença alors à le chauffer un peu, allant mordiller sa lèvre inférieur juste pour lui montrer qu’il avait vraiment envie de lui. Et le coréen fit finalement par commencer à le toucher, Tian Wei se retrouva à califourchon sur lui sentant ensuite les lèvres du brun dans son cou. Il poussa un petit soupire en sentant ses mains se poser directement sur ses fesses nus. A-t-il décidé de craquer aussi vite ? Nan il y a quelque chose qui se cache derrière tout ça, il en est pratiquement sûr. « t'as gagné, puisque t'es pas décidé à me lâcher, on va faire ce que tu veux. » Il arqua un petit sourcil, c’est fou comment il semblait lassé dans ses paroles. Il y a sûrement quelque chose derrière tout ça.

Il sentit les mains du brun lui malaxer les fesses, sûrement la parti de son corps qui a le plus plu au jeune inconnu –d’ailleurs, il ferait mieux de lui demander son nom nan ?. Les mains de Tian Wei était rester derrière la nuque du plus vieux, il n’avait pas encore répondu à aucun de ses toucher car ce n’était qu’une provocation cela se voyait comme le nez au milieu de la figure. Un changement de possition se fit et le brun en profita pour se reculer d’un coup le laissant assit sur le canapé. Le regard de Tian Wei était posé sur son visage, il ne semblait pas ravi de ce changement de comportement. « voilà, tu m'as eu, maintenant fou moi la paix. » Il appelait ça l’avoir eut ? Nan il veut le sentir en lui complètement en lui, il n’attendait pas qu’il le touche, il voulait qu’il le prenne et maintenant.

Il se leva d’un coup et le suit avant de l’attraper d’un coup, il le poussa dans les toilettes et bloqua la porte avec un balai. Il se tourna ensuite sur lui et se colla à lui d’un coup, son regard était assez froid mais également félin. « Tu sais que les homosexuels ne supportent pas ce genre de réaction, ils n’aiment pas rester sur leur faim. » Lui faisant un petit sourire au coin, il descendit ses mains sur les fesses du plus vieux avant d’aller léger son cou jusqu’à son oreille. « Maintenant tu vas finir ce que tu as commencé… couche avec moi. » dit-il avant de lui mordiller sensuellement. Il aura ce qu’il a envie coûte que coûte.

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tian wei & shin il
Il faut savoir accepter une défaite quand on sait que l'on va gagner la guerre. Il ne faut pas toujours se cantonner à toujours réussir, car la pression qu'on s'inflige nous mène inexorablement à l'échec. Il faut plutôt accepter le fait que nous pouvons faire des erreurs sans qu'elles ne nous soient fatales. De plus, l'erreur n'en est pas forcément une. On peut tromper l'adversaire en lui faisant croire à une victoire imminente alors que dans notre tête, un tout autre plan se déroule. Tout ce qu'il faut garder à l'esprit, c'est que la victoire nous appartient. Car pour gagner, il faut y croire, en être persuadé, et ne pas envisager la situation contraire. Et moi, j'étais vraiment persuadé que cette guerre, je n'allais pas la perdre, quitte à y laisser quelques plumes. Tout les moyens étaient bons pour qu'il me laisse enfin tranquille.

Je l'avais assis à califourchon sur moi, glissant mes mains sur son corps, sous ses vêtements. Je mordillais son cou, et changeai notre position pour qu'il se retrouve sous moi... Avant de disparaître, aussi vite que mon corps engourdi me le permettais. Je n'étais plus sur lui, mais plutôt quelques pas plus près de la piste de danse. J'avais envie de me fondre dans la foule pour qu'il ne puisse pas me rattraper, mais je n'étais pas un lâche qui fuyait... Enfin, en vrai, je n'avais pas eu le temps, et il m'avait attraper pour me pousser jusqu'aux.... toilettes ? Que c'était accueillant comme endroit. Je croisais mes bras sur mon torse, tout en ayant une moue hautaine coincée sur mon visage.

« Tu sais que les homosexuels ne supportent pas ce genre de réaction, ils n’aiment pas rester sur leur faim. » J'haussais un sourcil arrogant, mais je ne pu m'empêcher pour autant de sursauter lorsque je sentis ses mains dégoûtantes sur moi. « Maintenant tu vas finir ce que tu as commencé… couche avec moi. » J'eus un petit sourire au coin des lèvres, avant de me dégager de lui et de faire un pas en arrière. « han, ouais, les chiottes. super endroit, c'est sûr que ça m'excite les pissoirs là, j'deviens tout chaud. c'est vraiment l'endroit idéal pour attraper un max de maladie, j'adore. » Là, j'étais vraiment amusé de la situation, mais ce devait être un peu à cause de tout l'alcool que j'avais pu ingurgiter.

« franchement, t'aurais pas pu trouver un meilleur endroit pour m'avoir. comment t'as su que le faire dans les toilettes pour hommes d'un nightclub avec un gars c'était mon fantasme ? » Je glissais mes mains au fond de mes poches. « t'aurais presque pu m'avoir. mais t'as fais un mauvais choix. ma foi, ça prouve encore qu'on ne réfléchis pas de la même façon »

Le simple fait d’être impatient faisait de lui un mec qui ne réfléchit pas tout de suite à ses actions, il a beau être vraiment intelligent cela n’empêche pas son impatience maladive. Certes, il a du en avoir depuis le début car il n’était pas facile le jeune coréen mais bon là, il était bien décidé à l’avoir et bien sûr comme il l’a repoussé après l’avoir chauffé n’a fait que lui donner un peu plus envie de lui. Alors ouais, il a prit la première porte qui passait soit les toilettes, il n’aurait jamais pu le trainer jusqu’à chez lui de toute façon. Il aurait été capable de sauter de la voiture pour ne pas aller dans un endroit intime avec un sale gay comme il le pense.

Toujours aussi direct, il s’était collé à lui et à commencer à caresser son corps avant de finalement lui demander de coucher avec lui, mais l’endroit n’était peut-être pas le mieux. Il aurait juste fallu qu’il lui dise oui pour qu’il sorte et aille dans l’appartement de Tian Wei. Mais il fallait déjà qu’il l’accepte mais de toute façon cela servait à quoi puisqu’il venait juste de le repousser et là il commençait vraiment à en avoir ras le bol. « han, ouais, les chiottes. super endroit, c'est sûr que ça m'excite les pissoirs là, j'deviens tout chaud. c'est vraiment l'endroit idéal pour attraper un max de maladie, j'adore. » Le regardant dans les yeux avec un regard assez froid digne d’un mec qu’on a pas l’habitude de repousser ainsi. « franchement, t'aurais pas pu trouver un meilleur endroit pour m'avoir. comment t'as su que le faire dans les toilettes pour hommes d'un nightclub avec un gars c'était mon fantasme ? » Il ne cligna pas des yeux une seule fois continuant simplement à le fixer en espérant pouvoir l’étrangler juste en le regardant ainsi.

Okay, ce n’est sûrement pas le meilleur endroit pour coucher mais cela servait à quoi de toute façon il a bien comprit que cela ne le mènera à rien. Alors pourquoi il continue à lui courir après, il y a plein d’autre mec dans la salle qui n’attendent que sa présence. Mais nan, il s’était mit en tête à avoir l’hétérosexuel. « t'aurais presque pu m'avoir. mais t'as fais un mauvais choix. ma foi, ça prouve encore qu'on ne réfléchis pas de la même façon » Il rigola doucement avant de mettre ses mains dans ses poches arrière de jean. « On va dire que c’est comme ça, j’avais prévu de t’emmener chez moi si tu acceptais de coucher avec moi. Il fallait juste que je trouve un moyen de te garder enfermer dans la même pièce que moi. » Faisant un léger mouvement de tête pour remettre ses cheveux en place. « Okay t’es pas gay, je vais donc te laisser fantasmer sur les gros boobs de ses chaudasses. Amuse toi bien surtout. » Le regarde de haut en bas mais avec beaucoup moins de sensualité que la dernière fois.

Soupire avant de finalement passer à côté de lui, il retira le balai et ouvrit la porte d’un coup pour se diriger vers la piste de danse. Il salua ses potes en leur disant qu’il rentrait et se dirigea finalement vers la sortie enfilant une veste. Il reprit ses clés de voiture et sortit simplement marchant dans le froid en direction de sa voiture garé dans la rue d’à côté.

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J'étais coincé dans les toilettes avec un gay. J'aurais du avoir peur de me faire violer par lui, mais étrangement, je n'étais pas effrayé. Je ne savais pas pourquoi, sûrement que je savais au fond de moi que le gars voulais quelque chose de consentant, sinon il n'aurait pas essayer de me convaincre depuis si longtemps, et il m'aurait déjà sauté dessus. J'étais presque amusé, qu'il m’emmène dans les toilettes, parce que tout le monde savait ça, le meilleur moyen pour se faire la baise la plus dégueu du siècle, c'était de le faire dans les toilettes. Si j'avais su qu'il voulait juste se chopper une maladie, je l'aurais envoyé chez quelqu'un d'autre, au lieu de lui faire perdre son temps de cette façon.

Il me semblait que je commençais petit à petit à l'avoir à l'usure. Il semblait enfin lassé que je ne réponde pas à ses avances, et mes réflexions semblaient l'énerver. Enfin. Je ne pouvais pas m'empêcher de sourire grâce à la perspective de victoire qui s'offrait à moi. Je lui annonçais avec ironie qu'il aurait presque pu m'avoir, s'il ne m'avait pas amené ici, et ce n'était presque pas un mensonge. « On va dire que c’est comme ça, j’avais prévu de t’emmener chez moi si tu acceptais de coucher avec moi. Il fallait juste que je trouve un moyen de te garder enfermer dans la même pièce que moi. »

Alors comme ça, il avait vraiment eu l'espoir que je lui dise oui. C'était triste, quand même, qu'il puisse s'imaginer une telle chose venant de ma part. « Okay t’es pas gay, je vais donc te laisser fantasmer sur les gros boobs de ses chaudasses. Amuse toi bien surtout. » IL ABANDONNAIT ! J'avais enfin gagner, avec acharnement, et en y laissant quelques convictions comme ne jamais toucher un gars, mais j'avais tout de même gagné ! Je lui fis un grand sourire, avant de lui répondre : « merci d'avoir enfin compris ! c'était long, mais tu y es finalement arrivé. et ne t'inquiète pas pour ça, je compte bien m'amuser. » Je lui fis un signe de main tout en le regardant partir, me retrouvant alors seul dans les toilettes où je pu enfin souffler.

Cependant, cette victoire me laissait finalement un goût amer dans la bouche. C'était bizarre, mais... je regrettais presque de ne plus recevoir ses avances et ses demandes pour coucher avec lui. L'alcool me faisait sûrement divaguer, ouais, c'était ça. Je ne pouvais décemment pas être déçu qu'il n'ait pas obtenu ce qu'il voulait de moi ! C'était totalement idiot ! Aberrant ! Inconcevable ! Après un court moment, je sortis des toilettes, le cherchant inconsciemment des yeux, mais ne le trouvant pas. J'ignorais un peu toutes les femmes qui venaient se coller à moi, et me dirigeais d'un pas décidé vers la sortie.

Je ne savais pas ce que je faisais. J'allais faire un truck idiot ! C'était sûr. Dès que j'avais ouvert la porte je l'avais aperçu se dirigeant sûrement vers sa voiture. J'hésitais quant à l’attitude à adopter, puis finalement les mots sortirent avant que je n'ai pu réfléchir « HEY ! » j'avais hurlé. « tu me ramènes chez toi ? » Je faisais quelques pas en avant. « je suis trop saoul pour rentrer seul. » Mauvaise. Idée. C'était une mauvaise idée. Je détestais l'alcool. Il enlevait toujours toutes nos inhibitions.

C’est vrai que ce n’était pas son genre de baisser les bras ainsi mais il ne voulait pas passer toute sa soirée à courir après un mec alors qu’il sait très bien au final que rien ne se passera. Autant qu’il rentre directement chez lui et appeler un de ses amants pour avoir une soirée remplie de tendresse et de luxure. Ce sera déjà mieux que de se trouver dans un tel endroit avec un mec aussi con que lui. Oui, il baissait bel et bien les bras pour mieux rejoindre un de ses coups avec qui il a gardé contact. Certes il est encore totalement immature niveau sexe, c’est juste qu’il n’a pas trouvé encore la bonne personne pour le faire changer d’avis et le pousser à se calmer. Alors oui, il lui a dit très clairement qu’il laissait tomber après avoir entendu toutes ses paroles. Il n’a encore rien compris comme d’habitude et d’un autre côté maintenant il en avait rien à faire, il était énervé et cela se voyait.

Il savait très bien que le plus vieux jubilait de plaisir car maintenant, il allait le laisser tranquille pour qu’il puisse allez draguer toutes ces chiennes en chaleurs qui trainaient dans la boîte… Vous pouvez être sur qu’il les connaît ces chaudasses, il couche avec quand il n’y a que ça. Enfin d’un côté c’était pas plus mal, couché avec un homophobe n’était pas vraiment une si bonne idée au final. « merci d'avoir enfin compris ! c'était long, mais tu y es finalement arrivé. et ne t'inquiète pas pour ça, je compte bien m'amuser. » Il rigola légèrement ne faisant pas plus attention à ses paroles et sortit des toilettes après avoir retirer le balai. Il partit vers ses amis pour leur dire qu’il rentrait chez lui, il en avait bien le besoin et il faudrait qu’il pense à choisir qui l’accompagnera cette nuit. Il se dirigea vers la sortie après avoir mit sa veste.

Il marcha vers sa voiture tout en sortant son téléphone portable pour choisir qui sera son compagnon ce soir puisque celui qu’il a choisi est du genre complètement homophobe. Il était sur le point d’entrer dans sa voiture quand il entendit une voix : « HEY ! tu me ramènes chez toi ? » Il releva la tête et croisa le regard de ce type là, quoi qu’est qu’il venait faire ici ? Ne venait-il pas de le rejeter plus d’une fois en lui affirmant qu’il préférait les gros seins plutôt qu’une bite ? « Je ne te comprend pas, t’étais pas censé être en train de fourrer ta tronche dans deux grosses paires de boobs ? » Dit-il en le regardant. Il retira sa veste qu’il mit sur le siège arrière. « je suis trop saoul pour rentrer seul. » Ben tien. Il lui fit signe de monter dans la voiture et fit de même. Attachant sa ceinture, il tourna la tête vers le beau brun. « T’as vraiment la tête d’un roturier. T’as de la chance que t’es plutôt beau mec vu ce que tu as dit j’aurais très bien pu te laisser mourir dans un accident de voiture. » Le pire c’est qu’il était vraiment sérieux le petit.

Il mit sa voiture en route et se faufila dans la route en direction de son loft. Il resta silencieux tout au long du chemin ne voyant pas quoi lui dire et n’ayant pas envie de lui répondre alors. Une fois chez lui, il arrêta le moteur et tourna la tête vers lui. « Tu dors dans le canapé, dormir avec un gay ça doit être la pire chose que tu aurais à faire n’est ce pas ? » Lui jetant un regard assez froid. Il sortit de sa voiture et entra dans son loft fermant la porte derrière le plus vieux. Il retira ses chaussures et commença à déboutonner sa chemise tout en la gardant sur son dos commençant à se masser la nuque.

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La victoire, c'était quand même quelque chose de savoureux. On pouvait sentir tout le bonheur d'avoir enfin gagner après tant de bataille, et la fierté de ne jamais avoir abandonné jusqu'à atteindre son but tant attendu. Et pourtant, malgré le fait que la victoire était mienne, je n'étais pas aussi satisfait que j'aurais aimé l'être. Je gardais un certain goût amer dans la bouche, comme un manque ou une perte, et je me demandais bien d'où il provenait. J'avais bien une petite idée en tête, mais je n'osais réellement la prononcer, car elle me semblait bien trop surréaliste. Parce qu'au final, avais-je eu vraiment ce pour quoi je combattais si ardemment ? Ou bien avais-je eu raison de combattre dans ce camp, de perdre mes batailles alors que j'aurai pu simplement faire de mon ennemi un allié ?

C'était idiot de regretter. Les regrets ne menaient à rien. Et moi, debout dans ces toilettes, seul, j'avais un peu l'air débile. Je sortis alors pour rejoindre la salle où je ne l'aperçu pas. Un sentiment désagréable me parcouru. Était-ce de la déception ? Je ne comprenais plus les réactions de mon corps, surtout lorsque celui-ci se dirigea vers la porte menant à l'extérieur. Je l'avais alors aperçu, et ma bouche s'était mue d'elle même, lui demandant s'ils voulaient bien me ramener chez... lui. Avais-je vraiment osé dire une telle chose ? Mes yeux s'écarquillèrent alors un peu, et je fus content d'être encore suffisamment loin de lui pour ne pas qu'il le remarque. L'alcool et moi ne faisaient pas bon ménage.

« Je ne te comprend pas, t’étais pas censé être en train de fourrer ta tronche dans deux grosses paires de boobs ? » J'haussais un peu les épaules tout en marchant vers lui, lui annonçant que j'étais trop saoul pour rentrer seul. Puis, je m'imaginais la scène, ma tête dans des seins charnus... Mais en vérité j'avais bien plus envie d'un cul plutôt qu'une paire de seins. Étrange, parce que d'habitude, j'avais envie des deux. « T’as vraiment la tête d’un roturier. T’as de la chance que t’es plutôt beau mec vu ce que tu as dit j’aurais très bien pu te laisser mourir dans un accident de voiture. » Sa phrase, je ne savais pas trop comment la prendre. C'était un compliment, ou pas ?

Après un très court débat intérieur, j'en déduis que s'en était un, mais de toute façon, je m'en fichais un peu, et je m'installais sans gêne dans sa voiture. Le trajet fut si silencieux que je faillis m'endormir à plusieurs reprise. « Tu dors dans le canapé, dormir avec un gay ça doit être la pire chose que tu aurais à faire n’est ce pas ? » Sa voix soudaine me réveilla, et je sortis à mon tours de la voiture. « rooh, t'es pas gentil, moi qui avait pourtant changé d'aviiiis » Je le suivis ensuite jusqu'à l'intérieur de chez lui, le laissant fermer la porte derrière moi. Plop. C'était joli, chez lui. J'regardais tout autour de moi, avant de reporter mes yeux sur lui, et fichtre, il avait déboutonné sa chemise.

J'savais pas trop quoi faire moi, en vrai. Alors j'restais un peu debout derrière lui, et j'attendais. Il massait sa nuque, et j'ai pas compris pourquoi, mais en genre une demi seconde, je m'étais retrouvé derrière lui avec mes mains massant ses épaules, et en profitant pour descendre sa chemise le long de ses bras. Pis, j'déposais un bisou dans son cou, puis je me redressais soudainement : « eh! c'quoi un roturier ? j'suis sûr c'est quelque chose de négatif »

Ce n’est pas comme si il était totalement dégoûté de ne pas l’avoir eut, lui qui s’était tellement accroché pour l’avoir mais finalement, il a laissé tomber. C’est vrai que ce n’est pas son genre généralement, mais il l’a vraiment saoulé. C’est fou comment un mec comme lui pouvait être aussi con quand il s’y mettait. Il ne connaît même pas son nom et pourtant il n’arrivera sans doute pas à oublier ce moment là. Tian Wei était maintenant dehors bien décidé à trouver un nouvel amusement pour la soirée, c’est vrai ce n’est pas comme si il aimait dormir seul bien au contraire. Il aime quand il y a une chaleur humaine à côté de lui, cela le détend et puis… c’est toujours mieux le duo.

Tian Wei fut assez surpris d’entendre le coréen l’appeler, il releva finalement la tête et croisa le regard du coréen. Qu’est ce qu’il foutait là lui alors qu’il y a à peine quelques minutes, il l’a totalement envoyé chier. Enfin ce n’est pas comme si il était méchant et puis après tout, il était plutôt beau gosse pour un roturier alors autant se montrer un peu gentil et ne pas le laisser mourir dans un futur accident. Il se mit en route restant silencieux pendant tout le voyage, nan il n’était pas décidé à lui parler après tout il s’est montré comme un gros connard après tout. Il s’arrêta finalement devant chez lui et n’hésita pas à lui préciser qu’il allait dormir sur le canapé puisqu’il était homophobe dormir avec un homme doit-être horrible. « rooh, t'es pas gentil, moi qui avait pourtant changé d'aviiiis » Ben tien, il lui a déjà dit ça la dernière fois et il l’a juste chauffé pour le laisser là. Il n’allait pas se faire avoir deux fois.

Il entra finalement chez lui et commença à se mettre à l’aise. Il retira ses chaussures et déboutonna sa chemise laissant alors son torse nu avant de finalement se masser un peu le cou. Lui courir après comme ça, l’a totalement épuisé et pour au final ne rien recueillir c’est vraiment du temps perdu. Il sentit alors deux mains se poser dans son cou pour le masser et il se laissa faire, penchant sa tête vers l’avant pour qu’il ait plus de faciliter à le masser, cela lui faisait vraiment du bien. Sa chemise tomba finalement au sol parce qu’il l’avait simplement retiré et des lèvres se posèrent dans son cou. Là, il doit bien avouer qu’il ne comprenait plus rien. « eh! c'quoi un roturier ? j'suis sûr c'est quelque chose de négatif » Tournant légèrement la tête vers lui, il le regarda de haut en bas avant d’hausser les épaules. « Les roturiers sont ceux qui n’ont pas d’argent, qui ne sont pas riches. » fit-il en lui faisant un sourire au coin, cela montrait que lui n’en était pas un en fait.

Il passa ensuite à côté de lui la tête haute pour se diriger vers la cuisine et ainsi boire de l’eau, il en avait bien besoin avec les verres qu’il s’était enfilé un peu plus tôt… Certes il a sûrement bu moins que le jeune coréen mais bon, d’ailleurs… Il faudrait peut-être qu’il lui demande comment il s’appelle. « Tu t’appelles comment au fait ? Depuis tout à l’heure je te cours après mais je sais même pas ton prénom. Même si cela ne sert plus à rien maintenant puisqu’il ne va rien se passer. » dit-il en refermant sa bouteille d’eau. Bien sûr qu’il avait envie de sortir son corps contre le sien mais il a aussi bien compris ses paroles alors autant qu’il reste sage.

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Ma vie n'a jamais été sous mon contrôle. Toujours, il y avait une force extérieur qui me poussait à agir d'une certaine façon, même si je n'en avais pas envie. Quand j'étais enfant, je voulais absolument que mes parents et mon frères soient fiers de moi, alors j'avais toujours agis en conséquence. Adolescent, j'ai essayé de me faire discret pour éviter les reproches quant à mon physique, et lorsque j'avais rejoins le groupe, j'étais sous le contrôle de Dong Ho qui avait fait de moi son nouveau pantin... Parce qu'il m'avait en quelque sorte façonné lui même. Je n'avais jamais eu à faire mes choix seuls, et maintenant que j'avais enfin cette liberté tant rêvée, je ne savais plus quoi choisir, et j'avais l'impression de ne faire que les pires erreurs. Malgré tout, je ne jouissais pas d'une liberté totale, et certaines de mes actions sont encore dictés par la pire des émotions, la peur.

Je m'étais incrusté chez ce... Ce quoi déjà ? Ti... Tian quelque chose il me semblait. Mais j'avais l'esprit trop embrumé pour pouvoir réussir à bien m'en souvenir, sans aucune gêne, parce que de toute façon, je n'avais rien à perdre. Et lui, il déboutonnait sa chemise devant moi, comme si en vrai, je n'étais pas là. Je le vis masser son cou, et je ne pu empêcher mon corps de s'avancer vers lui pour remplacer sa main par les miennes. Je savais que j'allais risquer des questions étranges, et gênantes, mais je pourrais prétendre que c'était pour le remercier de me permettre de ne pas faire d'accident sur la route ce soir. Sa chemise tomba au sol, et je continuais d'appuyer mes mains contre sa nuque.

Il devrait s'inquiétait quand même, parce que je l'avais menacer de lui faire du mal. Je pourrais à n'importe quel moment changer mes projets et commencer à l'étrangler. Je n'avais pas grand chose à faire pour cela. Il suffisait que j'avance juste un petit peu plus mes mains vers sur torse, et que je les resserre sur son cou. Facile, et efficace. Pas pour tuer, non, plutôt pour intimider. Mais même si je pouvais envisager cela, je ne le ferrais pas. Pas maintenant. Pas à lui. Je lui demandais ensuite d'une voix qui ne semblait pas être la mienne sur le cou, ce qu'était un roturier, et je plongeais mes yeux dans les siens lorsqu'il tourna la tête vers moi. « Les roturiers sont ceux qui n’ont pas d’argent, qui ne sont pas riches. »

J'haussais alors les épaules, pas vexé le moins du monde. Je n'avais pas d'argent, c'était une réalité. Je ne pouvais pas prendre ça comme une insulte. Il partit ensuite, et je me contentais de le suivre, ne sachant pas quoi faire d'autre. Et j'eus raison de l'avoir fait, puisqu'il me demanda : « Tu t’appelles comment au fait ? Depuis tout à l’heure je te cours après mais je sais même pas ton prénom. Même si cela ne sert plus à rien maintenant puisqu’il ne va rien se passer. » Rooh zuuut alors, j'aurai mieux faire de rentrer chez moi au final. Je m'assis sur son plan de travail - quitte à se taper l'incruste, autant le faire bien - avant de lui répondre. « j'm'appelle shin il, et qui te dis qu'il se passera rien, je t'ai pas dis que j'avais changé d'avis ? »

Après un tic de mon oeil, que j'analysais comme une sorte de... clin d'oeil ? Je descendis dans un petit bond du plan de travail, avant de sortir de sa cuisine tout en lui demandant, tapant dans mes mains. « bon, et bien présente moi l'endroit où tu me permets de poser mon royal fessier »

Le problème ne venait certainement pas de lui, il l’avait repoussé c’était donc tout à fait normal qu’il n’attende plus rien de lui. Alors oui, il avait beau lui embrasser dans le cou ou faire d’autre chose du même genre pourquoi devrait-il automatiquement lui sauter dessus. Nan puis le pire dans tout ça c’est qu’il s’incrustait totalement chez lui alors qu’il y a quelques minutes il l’insultait de tapette en tout genre et de sale gay. Ce mec n’est vraiment pas logique. Enfin maintenant qu’il était là, autant qu’il dorme sur le canapé comme ça il comprendra qu’il est totalement vexé de son comportement et qu’il n’est pas prêt de changer d’avis maintenant même si ses lèvres sont vraiment attirantes et si il est totalement à son goût. Un roturier pour être plus simple, un roturier sexy.

Il l’avait planté la pour aller dans la cuisine boire un peu d’eau, cela le changerait de l’alcool qu’il a bu pendant la soirée. Bien sûr, cela ne l’étonna pas de le voir également dans la cuisine, il comptait le suivre tout le long ou pas ? Enfin ça lui a tout de même permit de lui demander comment il s’appelait. Après tout, il lui cours après mais ne connaît même pas son prénom ça paraît pas logique. Mais au final, il ne se souvient pas toujours de ses coups d’un soir, voir même jamais sauf ceux dont il a gardé le numéro de téléphone. « j'm'appelle shin il, et qui te dis qu'il se passera rien, je t'ai pas dis que j'avais changé d'avis ? » Arquant un sourcil alors comme ça il s’appelle Shinil… Il haussa finalement les épaules et plongea son regard dans le sien. « Je suis une tapette, un sale gay tu ne vas tout de même pas coucher avec moi tout de même. » dit-il avec un sourire au coin. Mais si il lui sautait dessus, il ne lui dira jamais non.

Il le vit faire un clin d’œil et leva les yeux au ciel, il prit la bouteille d’eau avec lui et marcha devant lui en direction du salon. « bon, et bien présente moi l'endroit où tu me permets de poser mon royal fessier » Il fit un sourire au coin et s’arrêta devant le canapé avant de lui montrer d’un signe de tête. « C’est ici que tu vas poser ton royal fessier comme tu dis pendant que le mien se posera dans mon lit. Bonne nuit. » Prend des couvertures et lui fou dans les bras avant de se diriger vers sa chambre. Il commença alors à se déshabiller gardant simplement son boxer. Ce ne sera sûrement pas ce soir qu’il aura une relation sexuelle, à dire qu’il était prêt à appeler un ancien amant. Mais nan, il allait devoir rester seul pour cette nuit, chose qu’il ne supporte pas et tout ça à cause de ce mec… « Aish il m’énerve déjà ! » Soupirant lassé, il entra dans sa salle de bain pour faire un brin de toilette.

Il finit finalement par se mettre dans son lit, trouvant le lit vraiment froid sans aucune présence humaine à côté de lui. Il se posait même beaucoup de question, du genre est-ce qu’il allait venir le rejoindre ou pas du tout. Ca lui permettrait de ne pas dormir seul n’est ce pas ? Il ne savait pas ce qu’il devait faire mais bon, si il devait dormir seul il arriverait peut-être à faire entrer un de ses amants dans son loft pour ne pas dormir seul n’est ce pas ?

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tian wei & shin il
Il n'y avait que les imbéciles qui ne changeaient pas d'avis, ainsi, en changeant d'avis, je prouvais que je n'étais pas un imbécile. J'étais persuadé de ne pas en être un, c'était évident, il serait même idiot de penser que j'en étais un. J'étais simplement un peu saoul actuellement, mais ce n'était pas de ma faute si tout cet alcool avait malencontreusement atterri au fond de ma gorge. Je n'avais rien pu faire d'autre que l'avaler pour ne pas étouffer. Pis... J'avais soif aussi, le choix ne s'offrait pas vraiment à moi. Comment ça, je suis de mauvaise foi ? Je ne vois absolument pas de quoi vous parlez. Enfin. Je lui avais dis que j'avais changé d'avis, mais mes précédentes paroles ne semblaient pas avoir quitté son esprit, parce qu'il semblait bien décidé à ne plus me vouloir.

Je le lui avais annoncé, que j'avais changé d'avis, mais il ne semblait pas d'accord avec cette idée. « Je suis une tapette, un sale gay tu ne vas tout de même pas coucher avec moi tout de même. » Je ne pu m'empêcher de sourire discrètement. J'avais dis ça, et je le pensais, toujours d'ailleurs. Oui, je n'aimais pas les gays, je trouvais ça mal ce qu'ils faisaient, et la seule raison qui faisait que j'avais envie de coucher avec ce gars, c'était pour me prouver à moi même à quel point c'était dégueulasse et contre-nature de faire une telle chose. Enfin, c'est ce que je me répétais pour me faire à cet idée. Un clin d'oeil et un bon plus tard, je lui demandais où j'allais pouvoir dormir cette nuit.

« C’est ici que tu vas poser ton royal fessier comme tu dis pendant que le mien se posera dans mon lit. Bonne nuit. » Il me montra son canapé, me fourrant des couvertures dans les bras la minute d'après. J'avais à peine jeté les couvertures sur le canapé qu'il n'était plus là. Je haussais les épaules avant de prendre mes aises, puisque j'allai finir la nuit là. Je ne me déshabillais même pas avant de me glisser sur le canapé, regardant le plafond avec mes bras croisés derrière ma tête. Je n'avais pas envie de dormir. J'étais sorti pour me trouver une nana, et ça ne s'était pas fait. J'étais sorti pour me défouler, et au contraire, cette soirée m'avait encore plus énervé que mes habituelles journées. Il me fallait un décompressant.

Après quelques minutes passées à observer les moindres détails et défauts du plafond et du reste de la pièce, j'étais finalement sorti des couvertures pour faire un tour de chez mon sympathique hébergeur. J'ouvris quelques portes au hasard, découvrant salle de bain et autres, jusqu'à tomber sur sa chambre. N'osant pas trop entrer sans autorisation - il avait encore tout les droits de me foutre dehors actuellement, et je ne savais pas si j'allais pouvoir retrouver mon chemin jusqu'à chez moi ou même un lieu que je connaissais bien - je m'appuyais sur le cadre de la porte. Je voyais une forme bouger sur le lit, et j'osais alors prendre la parole : « tu me permets d'entrer ? j'ai une dette envers toi comme tu me permets de ne pas mourir, alors j'aimerais te remercier. »

Je fis un petit pas en avant. « à ma façon » J'eu un petit sourire en coin qui ne devait pas trop se voir dans le noir. Ce soir, j'allais prouver à quel point coucher avec des hommes me donnerait envie de gerber.

A croire qu’il ne savait pas ce qu’il voulait, il le repoussait maintenant disait qu’il avait changé d’avis et qu’il a envie de coucher avec lui. Ce mec est vraiment louche et complètement indécis dans ses choix. Alors cela paraît normal que Tian Wei le repousse même si il y a quelques minutes, il aurait sûrement craqué en entendant le fait qu’il avait changé d’avis mais ce n’était plus le cas présent. Il l’emmena dans le salon et lui présenta son lit pour la nuit et lui balança deux couvertures dans les bras avant d’aller dans sa chambre en traînant les pieds. Avec tout ça, il allait devoir dormir tout seul lui qui ne supportait pas ça, alors qu’il avait prévu de dormir avec quelqu’un ce soir. Tout cela l’énervait vraiment et il se prépara tout en essayant de trouver une solution pour faire entrer un de ses amants dans la maison. La tête posé sur son oreiller, il regardait le plafond devant lui en soupirant de lassitude. Il est certain ce soir il n’arrivera sûrement pas à dormir.

Il se tourna sur le côté en direction de la fenêtre ouverte, il regardait simplement le ciel sans trop savoir ce qu’il devait faire quand il entendit la porte s’ouvrir, il savait que c’était Shinil… Ca ne pouvait être que lui après tout. « tu me permets d'entrer ? j'ai une dette envers toi comme tu me permets de ne pas mourir, alors j'aimerais te remercier. » Faisant une grimace, il finit par se retourner vers lui se plaçant alors sur le dos pour voir son visage. « Tu n’as pas besoin de le faire, la seule chose que tu me prives ce soir c’est de sexe et de compagnie pour dormir. » Dit-il en se redressant légèrement. C’est vrai à cause de lui, il ne dormait pas avec quelqu’un, donc sans chaleur humaine près de lui. « à ma façon » Il haussa les épaules et se plaça sur le ventre tournant la tête de l’autre côté.

Il ne le comprendra sûrement jamais à force de changer d’avis et d’agir ainsi le jeune chinois risque de craquer. Il ferma les yeux doucement et sentit alors un poids se faire sur le lit, il s’était donc incrusté une nouvelle fois dans le lit. « elle consiste en quoi ta façon ? Dormir avec moi pour que j’ai une quelconque chaleur humaine avec moi ? » Tournant alors la tête vers lui, il planta son regard dans le sien sans trop savoir quoi dire après cela. Si il comptait dormir avec lui cette nuit… Il pouvait très bien rester mais cela voulait dire qu’il dormirait avec une tapette et un sale gay allait-il pouvoir survivre à ça ?

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Adossé à l'ouverture de la porte, je le regardais dans son lit. Est ce qu'il dormait ? Ou est ce qu'il n'y arrivait pas parce que comme moi il n'a pas pu avoir ce qu'il voulait en sortant ce soir ? Je penchais plutôt pour la deuxième option. Je sentais qu'il ne dormait pas, simplement parce que la respiration était bien trop irrégulière pour être celle de quelqu'un qui était totalement reposée. La silhouette sous les draps me tournait le dos, mais il faisait trop sombre pour que je puisse observer plus que cela. Je ne savais pas ce que je devais faire. Peut être pourrais-je me glisser à ses côtés dans les draps, ou peut être je devrais lui sauter dessus ? Non. Je ne le ferais pas, il me jetterait dehors de faire une telle chose. Au final, j'étais resté sur la pas de la porte à attendre, avant de me mettre enfin à parler, lui demandant s'il me permettait d'entrer.

J'avais une dette envers lui, c'était vrai, et je voulais en quelque sorte lui rembourser, de la meilleure façon possible, même si cela m'en coûtait un petit peu. Mais étrangement - encore une fois je rejetais la faute sur l'alcool - la perspective de ce que j'allais faire ne semblait pas me dégoûter autant que je l'aurais penser. Il se retourna alors sur le dos pour pouvoir me parler, me faisant déduire que vu la façon dont il avait répondu vite, j'avais eu raison de penser qu'il ne dormait pas encore. « Tu n’as pas besoin de le faire, la seule chose que tu me prives ce soir c’est de sexe et de compagnie pour dormir. » Bah justement, je voulais résoudre à se problème, mais il n'avait pas l'air très ouvert à cette option là. Je fis un pas à l'intérieur de sa chambre pour m'avancer vers lui, essayant de le faire le plus silencieusement possible.

J'avançais encore, et encore jusqu'à me retrouver bloqué par le lit, où je déposais alors mon royal fessier. « elle consiste en quoi ta façon ? Dormir avec moi pour que j’ai une quelconque chaleur humaine avec moi ? » Un petit sourire en coin apparu sur mon visage, alors que je me rapprochais de lui dans son lit. « dormir ? pourquoi donc dormir ? il y a d'autres choses que l'on pourrait faire dans un lit qui ne consistent pas à dormir. » Je soulevais ensuite sa couette pour me glisser dessous, me collant contre son dos, et passant mes mains sur le devant de son corps. « si tu vois ce que je veux dire. » Je continuais un peu de le toucher - c'était bizarre, mal, étrange, je devais arrêter ! - et j'arrêtais finalement. « mais si tu ne vois pas, je peux partir. »

Pouvait-il vraiment faire comme si il n’était pas là dans son loft à seulement un couloir de lui ? Ouais, il comptait le faire même si cela n’allait sûrement pas être une mince à faire pour le jeune chinois qui a prit l’habitude de dormir en compagnie de quelqu’un. Ca a toujours été son problème quand il était plus jeune, en Chine il se débrouillait pour dormir entourer de peluche qui le réchauffait mais il ne pouvait sûrement pas faire la même chose aujourd’hui. Après il arrivait à se faufiler dans le lit de Minhyeok même si il ne voulait pas quand il était encore un grand enfant. L’adolescence est arrivé et il a commencé à avoir ses conquêtes qui l’accompagnaient dans ses nuits. Il n’y a rien de plus facile que d’avoir une compagnie pour la nuit maintenant.

Enfin Tian Wei ne fut pas surpris en voyant que Shinil était à sa porte, il avait soumi l’idée qu’il avait changé d’avis mais bien sûr, Tian Wei ne l’a pas cru. C’est vrai, il l’avait repoussé tellement de fois qu’il ne pouvait plus le croire maintenant si ? Il s’était mit dans le lit à côté de lui et le chinois tourna la tête vers lui, il voulait le remercier à sa manière de ne pas être mort d’un accident. De quelle manière, en dormant avec lui peut-être ? Le coréen se rapprocha de lui et pourtant il ne bougea pas d’un centimètre voulant juste comprendre ce qu’il voulait vraiment. « dormir ? pourquoi donc dormir ? il y a d'autres choses que l'on pourrait faire dans un lit qui ne consistent pas à dormir. » Tian Wei rigola doucement avant de lever les yeux au ciel, ce type est vraiment bizarre il n’y a pas à dire. Enfin… Ce n’est pas comme si il allait le revoir après cette nuit-là si ? « Alors finalement, tu as vraiment changé d’avis ? Tu penses tout de même que je n’ai pas de vagin n’est ce pas ? » Dit-il en penchant la tête légèrement sur le côté. Autant le mettre tout de suite au courant.

Il tourna finalement la tête avant de finalement le sentir contre son dos, sa main passa sur son ventre pour le caresser ce qui ne laissa pas indifférent le jeune chinois qui frissonnait déjà sous ses doigts. « si tu vois ce que je veux dire. » Un sourire s’afficha sur son visage, bien sûr qu’il voyait très bien ce qu’il voulait dire. Il le sentit ensuite se détacher de lui et il tourna la tête vers lui. « mais si tu ne vois pas, je peux partir. » Il leva les yeux au ciel et se tourna vers lui se redressant alors sur ses coudes. « Maintenant que tu es là autant que tu restes tu ne penses pas ? Puis j’ai plein de chose à te faire découvrir maintenant. » Il lui fit un sourire au coin avant d’approcher son visage du sien commençant par déposer de léger baiser dans son cou tout en remontant le long de sa machoire pour arriver ensuite à son oreille. « Tu ne pourras pas faire marche arrière, j’espère que tu l’as compris. » lui murmura-t-il à l’oreille. Une fois que cela commence, on ne pouvait rien arrêté.

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J'entrais dans sa chambre à pas de loup. Des pas de loups très légers, malgré le fait que mon esprit soit toujours un peu embrouillé par l'alcool. D'ailleurs, je ne savais pas pourquoi j'essayais d'être discret, il n'y avait aucune raison, puisque je lui avais demandé si je pouvais entrer. C'était sûrement cela, l'effet de l'alcool sur mon cerveau. Il partait peu à peu de moi, mais malgré le fait que mes gestes étaient maintenant bien plus nets qu'un peu plus tôt, mon esprit ne réfléchissait toujours pas de façon logique. Et je pouvais faire tout les efforts du monde, je n'y arriverais sûrement pas avant une petite nuit de sommeil, que je n'aurais sûrement pas tout de suite vu ce que j'avais en tête. Je m'étais assis sur le lit à côté de lui, et il n'avait fait que me demander ce que j'allais faire pour le remercier.

Je lui avais répondu qu'il y avait tant de chose à faire dans un lit qui ne consistaient pas à dormir, et cela le fit rire. « Alors finalement, tu as vraiment changé d’avis ? Tu penses tout de même que je n’ai pas de vagin n’est ce pas ? » Je rigolais à mon tour à sa remarque, me rapprochant un peu de lui, me glissant sous la couette avec lui tout en lui disant, taquin. « je sais bien que tu n'as pas de vagin, mais t'as un cul mhhhhh, j'ai même pas de mot pour le décrire, donc ça compense. » Je prenais son cul en main en même temps que je disais ça. Et je pensais tellement ces mots. Son cul était tout ce que j'avais toujours cherché. Il était parfait entre mes mains, ferme, rond, juste indescriptiblement parfait. Puis j'ajoutais encore : « et il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis... »

Je me collais contre son dos, ma main passant sur son ventre, et je souris contre son cou en le sentant frissonner. Je me détachais de lui, m’éloignant de sa chaleur, lui disant que lui, il pouvait toujours se rétracter s'il n'en éprouvait plus l'envie finalement. « Maintenant que tu es là autant que tu restes tu ne penses pas ? Puis j’ai plein de chose à te faire découvrir maintenant. » Un grand sourire se forma sur mon visage, grandissant et grandissant encore. Il se rapprocha de moi, et m'embrassa dans le cou, remontant jusqu'à mon oreille. « Tu ne pourras pas faire marche arrière, j’espère que tu l’as compris. » Je lui fis une nouvelle fois un grand sourire avant de reprendre mon sérieux, le retournant pour le plaquer dos contre le lui, et coincé sous mon corps. Je m'assis sur lui, tout en murmurant : « je ne comptais plus partir »

Je déposais ma bouche contre son cou, avant de sortir ma langue pour la laisser glisser jusqu'à son torse, où je rencontrais un téton que je m'empressais de prendre dans ma bouche, mes mains voguant contre ses flancs, les effleurant à peine pour lui donner des frissons. Eh.. Oh... j'étais en train de faire ça avec un mec ?? Je continuais quand même, même après cette révélation - qui aurait du se faire bien avant tout de même - et je m'arrêtais de jouer avec son téton pour remonter dans son cou, mes mains attrapant maintenant ses fesses - je les aimais trop pour mon propre bien.

Sujet: Re: (OUPS) « let's get started » Dim 3 Mar 2013 - 16:05

Ce n’était pas comme si il était réellement discret quand il entre dans une chambre, mais bon à croire que le coréen ne voulait pas vraiment l’être. Tian Wei essaya de faire comme si il n’était pas là au début mais c’est une chose qu’il n’a jamais su faire. Il tourna la tête vers lui avant de le voir s’allonger à côté de lui, finissant finalement par lui tourner le dos. Il ne savait pas vraiment ce qu’il voulait cela se voyait sinon il ne serait sûrement pas là avec lui en sachant qu’il le traitait de tapette il y a seulement quelques minutes maintenant. Enfin, c’est surement l’alcool dans son sang qui lui jouait des détours, demain il allait se mordre les doigts en sachant qu’il a couché avec un homme. Après qu’il lui ait caressé le ventre laissant le jeune chinois frissonner doucement, il se tourna vers lui lui demandant si il avait vraiment changé d’avis, ça semblait être le cas tout en lui précisant qu’il n’avait pas de vagin… On ne sait jamais après tout. « je sais bien que tu n'as pas de vagin, mais t'as un cul mhhhhh, j'ai même pas de mot pour le décrire, donc ça compense. » Un sourire au coin naquit sur le visage de plus jeune, le regardant simplement dans les yeux en le sentant pincer ses fesses ainsi. « et il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis... » Caressant sa hanche du bout des doigts, il sourit simplement. « J’ai cru comprendre que mes fesses te plaisaient et … tu es un imbécile. »

Il lui tourna le dos quelques instants avant de finalement se mettre sur le dos pour se redresser sur ses coudes. Il avait plein de chose à lui faire découvrir comme… la sensation qu’on ressent quand on entre dans un endroit chaud et humide qui s’appelle plus précisément l’anus… Il va adoré, il en est persuadé. Il se pencha vers lui et déposa plein de baiser dans son cou sur sa mâchoire pour atteindre son oreille et lui murmurer qu’il ne pouvait plus fuir maintenant. Il se retrouva vite plaqué sur le lit après ses paroles, le regardant dans les yeux avec un sourire sur le visage. « je ne comptais plus partir » Se mordant la lèvre en sentant ses lèvres sur son corps et ses mains frôlant seulement sa peau laissant à son passage des petits frissons. Il adorait cette sensation et on peut dire qu’il est plutôt doué dans son genre. Tian Wei passa ses mains dans les cheveux du brun, soupirant en sentant les mains du plus vieux sur ses fesses. Il allait sûrement passé une nuit qu’il ne pourra sans doute jamais oublier. Il descendit ses mains sur son dos jusqu’à son caleçon, le baissant doucement avant de coller ses lèvres sur les siennes dans un baiser fougueux, laissant ensuite sa langue jouer avec la sienne pour plus de passion. Shinil était vraiment sûr de ce qu’il faisait ? après tout il est hétérosexuel n’est ce pas ? Enfin de toute manière, il n’allait pas le laisser partir et ils étaient allé beaucoup trop loin pour tout arrêter d’un coup comme ça.

Sujet: Re: (OUPS) « let's get started » Dim 3 Mar 2013 - 18:52

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tian wei & shin il
Mon corps était collé contre le sien, chaud et à moitié nu. Sa peau presque nue était en contact avec mes vêtements, mais je n'avais pas encore envie de les enlever pour l'instant. Je ne savais pas ce que je devais faire, en réalité, alors j'agissais avec lui comme je l'aurais fait avec une femme, picorant son cou, caressant ses hanches du bout des doigts, le faisant bouger jusqu'à ses flancs que j'effleurais. Ma bouche qui était auparavant présente au creux de son cou se posa au hasard sur son torse où il n'y avait aucun sein moelleux qui n'attendait que que je pose ma tête dessus ou que je les prenne en main. C'était étrange, mais cela ne m'avait pas empêché de venir jouer avec ses tétons, les prenant entre mes dents, ou simplement dans ma bouche, longtemps, parce que je ne savais pas quoi faire d'autre, à part attraper ses fesses entre mes mains pour les malaxer un peu.

Je sentais ses mains sur moi, et je relevais la tête pour revenir dans son cou, puis il vint demander un baiser que je lui accordais gentiment, bien que j'eus quand même une toute petite envie de reculer lorsqu'il avait approché son visage trop près du mien, réalisant que j'étais en train de faire pire, en touchant son corps de la façon dont je le faisais. Je m'éloignais de lui, le fixant dans les yeux quelques instants. C'était un homme. Un. Homme. J'étais hétéro. Hétérosexuel. Je pouvais faire ça ? Si je n'aimais pas, cela prouverait que je suis vraiment hétéro après tout, et pas une sorte de gay refoulé comme il l'avait dit. Mais si j'appréciais.. qu'est ce que j'allais faire ? Je le regardais de haut en bas, glissant mes mains vers l'avant de son corps avant de jouer avec l’élastique de son boxer, le tendant et le reposant contre sa peau, jetant des petits coups d'oeil à ce qu'il y avait en dessous.

J'étais trop excité pour partir maintenant. J'avais trop insisté pour partir sans perdre ma fierté aussi. Après un tout petit minuscule soupire, je glissais à nouveau ma tête dans son cou pour prendre la fine peau entre mes lèvres, la mordillant et la suçotant pour laisser une fine marque rouge. Je glissais deux doigts sous le boxer du jeune homme sous moi, et je tirais dessus pour lui enlever, le faisant glisser le long de ses jambes. Je ne savais pas vraiment quoi faire, mais j'écartais ses cuisses pour me placer entre, enlevant mon t-shirt avant de me pencher au dessus de lui pour lui glisser à l'oreille. « comme tu t'en doutes, il va falloir que tu me guides » Je mordillais un peu le lobe de son oreille, caressant l'arrière et les côtés de ses cuisses du plat de mes mains.

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